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  • Petits florilèges d'articles de pédagogues, de techniciens et de politiques sur le sujet:

     

    « Que tout les hommes se doivent entraide en tant que passagers du vaisseau terrestre. C'est la prise de conscience écologique. Elle est irréversible »

    R.Le développement durable par l'exemple. Debray - Le moment fraternité

     

    Voici une synthèse d'articles publiés dans "Les cahiers pédagogiques" traitant du développement durable.  Ces "Agendas 21", ces "démarches de développement durable" qui n'en n'ont que le nom et qui escomptent des effets préalablement choisis, n'ont souvent rien d'une méthodologie, construite, participative et transversale. Pédagogues, administrateurs, politiciens, tous ont ici une approche raisonnée et pertinente du développement durable. Sans artifice, ni précaution, ils n'hésitent pas à épingler les faux projets, les fausses bonnes idées et bonnes paroles qui ne servent que ceux qui les produisent.

    Le politicien doit, maintenant, gérer les enjeux de manière transversale et avec concertation; parceque le productivisme et le tout social, dans leur conflits, occultent souvent les enjeux environementaux.

     

    Environnement n'est pas développement durable:

    Un bon citoyen a un certain nombre de devoir vis à vis de la nature et de l'environnement: il éteint les lumières, il trie les déchets, il économise le papier ...Les représentations du développement durable, mais aussi de nombreuses incitations officielles, incluent fréquemment ces « bons gestes ».

    Qu'apporte l'éducation au développement durable si elle est réduit à cela?

    Les « bons gestes » pour utiles qu'ils soient ne permettent pas de construire et comprendre un projet de société dans ses composantes environnementales, sociales, économiques, et éthiques avec toute la complexité de réponse qui ne peuvent être uniques et simples. Ils peuvent même constituer un frein pour une vision des problématiques globale: Les gestes pour économiser l'électricité peuvent éluder des questions énergétiques plus fondamentales (…)

    (Jean Simonneaux Enfa université de Toulouse pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     

    Le développement durable est porteur d'interrogations qui activent des débats parfois passionnés. (...). La définition du rapport Burtland, communément admise, place clairement les hommes et leurs besoins au coeur des problématiques. Ne nous trompons pas de cible: lorsque l'on parle de D.D. C'est bien de développement humain dont il s'agit; les slogans « préserver la terre » ou « bon pour la planète », omniprésents risquent parfois de nous en écarter quelque peu. Ce qui nous préoccupe c'est bien le « Développement » et la « durabilité » de l'humanité sur une planète vivable.

    Cette approche nous invite à dénouer le noeud gordien de l'opposition environnement / développement; les aspects environnementaux sont assurément incontournables, mais ils doivent être remplacés dans des démarches globales où les questions sociales, économiques et culturelles sont tout aussi première. Les entrées peuvent êtres diverses, davantage « écolo-centrées » ou « économico-centrées » ou encore « socio-centrées », pourvu que l'on ait bien conscience du point de vue duquel on se place et qu'on veille à le positionner par rapport aux autres entrées.

    (Michel Hagnerelle Inspecteur, chargé de mission par le ministre de l'E.N. Pour l'EDD. pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     

    La gouvernance: intégration de l'individu et sa participation à l'exécutif:

    Un futur citoyen n'est pas seulement responsable de ses actions personnelles, il doit être apte à participer aux décisions publiques, apte à s'engager dans l'élaboration d'une société durable; ce qui nécessite des connaissances, des valeurs et une aptitude à vivre ensemble.

    Une telle conception nous conduit à définir des finalités éducatives plus ambitieuses que ces simples « bons gestes », il s'agit de former les acteurs sociaux à penser par eux mêmes, à faire preuve de responsabilité. L'action du citoyen ne se réduit pas à déléguer son pouvoir à un élu. Derrière la citoyenneté, il s'agit de s'interroger sur la gouvernance, c'est à dire sur l'organisation de la décision et du pouvoir dans les différentes sphères et échelons de la société. (...) .

    (Jean Simonneaux Enfa université de Toulouse pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

    Tout passe aujourd'hui au crible d'une évaluation chiffrée et raisonnée par critères et objectifs. Cette rationalisation constitue sans conteste un progrès. Mais le dessaisissement du citoyen de ces questions vives, qu'une démocratie est censé porter au débat public pour une décision partagée, est source de nombreux effets pervers.

    En premier lieu les personnes ordinaires ne sont plus habilitées à prendre part aux discutions, car on ne leur reconnaît pas les compétences nécessaires pour contredire un sociologue, un chimiste, un biologiste, des spécialistes reconnus et institués comme tel. La faculté de débattre, qui reste formellement au mains des citoyens par intermédiaire de leurs représentants, est en réalité transférée à un groupe de scientifiques et d'intellectuels, censés représenter et garantir la rationalité, et partant l'irréfutabilité, des choix mis en ouvre. Le citoyen est occulté.

    (jean marc Pothier professeur de lycée, pilote du projet èco-lycée pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010 )

     

    Échec et illégitimité de la seule science:

    Les modalités de formation tant des élèves que des jeunes enseignants, doivent être adaptées aux enjeux actuels. Il s'agit tout d'abord de favoriser une rationalité critique, en cherchant à transmettre l'idée que les sciences, d'une part, sont nécessaires, mais pas suffisantes pour les prises de décision, et d'autre part, qu'elles ne constituent pas un ensemble homogène qui proposerait une seule analyse ou une seule solution. Les expertises scientifiques doivent être complétées par des discussions sur le choix des sociétés avec l'ensemble de la population (…). Au delà de l'analyse scientifique réelle et nécessaire à la compréhension, le décryptage des enjeux de pouvoir permet de comprendre comment la science est traduite pour être mise au service d'une pluralité de projets (…) Les situations d'évaluations proposées doivent porter essentiellement sur la validité des démarches et des argumentations et non pas sur la production de LA bonne solution, sinon on promeut une forme de scientisme qui a conduit à bien des excès.(...)

    Les savoirs scientifiques ne doivent pas être présentés de manière isolée, le contexte dans lequel ils peuvent être appliqués doit être mis en perspective et analysé, condition à la promotion d'une citoyenneté scientifique.

    (Jean Simonneaux Enfa université de Toulouse pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010) La clef du D.D. est d' amener les apprenants à se poser des questions, à bannir les « il n'y a qu'à », à comprendre qu'il n'y a jamais de réponse unique, que l'on travail sur des savoirs en construction, et que l'on est souvent amenés à choisir entre des options contradictoires, ce sont les fondements d'une éducation au choix et à la prise de position. Cela doit aussi les conduire à s'interroger sur la validité des méthodes scientifiques utilisées, sur les modèles explicatifs, sur le statut des scénarios dans les prévisions. D'autant que le monde scientifique (au sens large) apparaît bien éclaté face à la nécessité des approches systémiques.

    (Michel Hagnerelle Inspecteur, chargé de mission par le ministre de l'E.N. Pour l'EDD.pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     

    Pourtant, la nature même de la démarche scientifique repose sur la controverse et non sur le consensus ainsi que sur la publicité et le reproductibilité des résultats expérimentaux. Autant dire que les contradicteurs, quel qu'ils soient et la simple condition qu'ils fondent leurs arguments, sont toujours les bien venus dans les milieux scientifiques, car ils permettent d'infirmer oui renforcer une théorie, selon que leurs contre arguments sont in fine validés ou non. Car, est il utile de le rappeler, aucune théorie scientifiques, aucune représentation du monde, ne peut se prétendre absolument vraie ni définitive.

    Enfin, en contradiction avec l' hypothèse positive d'un mode totalement rationnel, il ne faut jamais oublier que l'humain n'est réductible à aucun déterminisme économique, sociologique ou autre.

    (jean marc Pothier professeur de lycée, pilote du projet èco-lycée pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010 )

     

     

     

    Se méfier du discours ambiant et des concepts véhiculés:

     

    Développer l'esprit critique et décrypter « les discours ». Il s'agit d'amener les apprenants à prendre toutes les distances nécessaires avec les innombrables clichés , le marketing d'entreprise ou de collectivité, avec les approches émotionnelles ou catastrophistes, avec les discours normatifs ou moralisateurs, il s'agit aussi de les initier au décryptage du jeu des acteurs, des conflits d'intérêts, des stratégies géopolitiques ou commerciales jouant sur la peur et le culpabilité.

    (Michel Hagnerelle Inspecteur, chargé de mission par le ministre de l'E.N. Pour l'EDD. pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     

    Dans un monde dominé par la communication, il est nécessaire pour un futur citoyen d'avoir une distance critique face aux présentations souvent réductrices des médias. Il faut identifier les différentes analyses et entraîner à un regard critique sur les producteurs de discours et leurs enjeux. Les savoirs scientifiques ne doivent pas être présenté de manière isolées, le contexte dans lequel ils peuvent être appliqués doit être mis en perspective et analysé.

    (Jean Simonneaux Enfa université de Toulouse pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     

    Et cela ne sera pas facile:

     

    Les choses se compliques singulièrement lorsque les équipes se composent de maintes personnes qui n'ont pas les mêmes objectifs, ni souvent les mêmes pratiques, ni les mêmes horaires de présence dans établissement. C'est sans compter aussi que le groupe de référence n'est plus la classe, mais l'établissement dans son ensemble, y compris les personnels administratifs et de service, les partenaires extérieurs et les collectivités locales, pour former un établissement en démarche de D.D.

    Grâce à l'articulation et la « mise en synergie entre les différents niveaux d'action dans une démarche de projets et de développement de partenariats ». Discours technocratique, si il en est qui oubli au passage qu'instituer un travail d'équipe ou un partenariat sans moyens temporels ni matériels, sans pilote et sans contenu ni objectif commun ( si ce n'est le concept flou du D.D.) relève de l'incantation.

    (jean marc Pothier professeur de lycée, pilote du projet èco-lycée pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010 )

     

    De la nécessite de choisir sa géographie:

     

    Une question fondamentale est celle de la définition même des besoins. Chacun dans un bel élan individualiste, ne tends à les définir que par rapport à lui même et dans la société ou il vit. Entre les besoins physiologiques fondamentaux et les besoins les plus élevés comme la communication ou le divertissement, le hiatus est immense entre les différentes couches d'une même société, et plus fondamental encore entre différentes civilisations. De fait, le niveau et le point de vue auxquels on se place changent du tout au tout les exigences du D.D.

    (jean marc Pothier professeur de lycée, pilote du projet èco-lycée pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010 )

     

    Le développement durable, une méthodologie politique:

     

    l' intégration au D.D. Est complexe car elle implique une vision globale et politique: Certes le rôle de l'école est de former à la réflexion: Mais le développement durable ne se contente pas de poser des questions, il propose aussi des réponses. Que penserait on de projets éducatifs du type «  éducation au socialisme » ou « éducation au libéralisme » Or le D.D. Au sens fort est lui aussi une doctrine puisqu'il entend fournir une interprétation de la réalité et orienter l'action humaine. Il est donc nécessaire, dans un cadre démocratique, de l'aborder sous un angle pluriel et critique et non comme quelque chose allant de soi.

    (…) A partir de choix personnels, le D.D. Est un moyen d'aller plus loin et s'interroger sur les politiques publiques menées, en matière de transport, d'urbanisme, de commerce international,etc. Sans cela le D.D. Prends le risque de devenir un discours moralisateur et culpabilisant, en compromettant alors tout changement effectif.

    (Pacal Canfin , députe européen « Europe Écologie » pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010 )

     

    De la concertation dans la démarche de D.D.:

     

    Seuls les langages, les paroles, les liens, les mots, les gestes peuvent nous aider dans ce qui constitue un défit autrement plus grand que le défit écologique – se comprendre entre humains, Nous avons à faire ensemble et pour cela nous devons nous parler. (...)

    Aujourd'hui quand on sait qu'il faut décloisonner, quand on sait que la diversité est un atout, quand on sait que la participation est la clé, aujourd'hui un mot s'impose: concertation. Qu'il soit de la sphère de l'état, de la sphère des collectivités, de la sphère des collectivités ou de la sphère de la société civile, nul ne peut plus arriver comme ça seul sur un territoire et dire « On va faire ça » Toute action, tout projet, exige aujourd'hui une vision partagée avec tous ceux qui se sentent concernés.

    La concertation, on la vit dans l'objectif de se mettre d'accord et non d'avoir raison a concertation exige qu'on se rencontre, qu'on échange, qu'on se connaisse et qu' enfin on se fasse confiance. Dans la concertation, ce qui compte d'abord se sont les relations. Ceci nécessite une écoute active, un esprit de conciliation, une méthode rigoureuse. Dans tout les cas le respect mutuel est la base de tout.

    (roland Gérard – co-directeur du Directif Français de l'Education à l'Environnement Durable, et du Collectif Nature pour les Cahiers Pédagogiques janvier 2010)

     


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  • "Il est évident que la promesse du site de Fécamp est une excellente nouvelle!" Claude Taleb  - vice président EE-LV de la Région

     

    Réjouissons-nous, une fois de plus, de la bonne nouvelle pour Fécamp. Réjouissons-nous de la centaine d'emplois créée sur site, et ce, pendant toute la durée de l'exploitation. Réjouissons-nous des huit cents emplois liés à la construction, créés sur le bassin Havrais. Réjouissons-nous des retombées touristiques évidentes sur notre territoire et des retombées fiscales profitables à nos collectivités.

     

    Mais sachons trouver qu'elle est, dans son ensemble, en deçà des espoirs que l'on pouvait nourrir.

    La Municipalité, la Région, le consortium retenu, tous ont fait ce qu'il fallait pour être  placés :

     

    Des interventions politiques locales, régionales, européennes, des concertations publiques avec les acteurs, des études techniques, des formations professionnelles nécessaires aux métiers de l’éolien, la négociation des emprises portuaires , les financements nécessaires aux aménagements des activités portuaires liées, des informations aux habitants, ont été une partie de tout l'immense travail en amont du projet, promis aujourd'hui .


    Mais si on raisonne globalement et collectivement, c'est un mauvais coup joué au secteur de l’énergie renouvelable :
    Le
    projet des « Deux Côtes » reste le plus avancé et le seul a avoir passé le cap du débat public (document d'une exceptionnelle qualité environnementale et sociale)
    L'argument selon lequel certains élus locaux, les pêcheurs et la FED (fédération de l'environnement durable) sont contre n'est pas recevable. Les élus locaux "contre" sont par traditions et probablement par convictions et, peut-être, intérêts liés au nucléaire. La FED ressemble à un lobby anti éolien, financé par EDF (?).
    Le projet des Deux Côtes n'est pas reporté mais ajourné ! Si le gouvernement change, il faudra que nos élus se battent pour que cette décision soit revue. S'ils n'y parvenaient pas, c'est toute la filière régionale qui en prendrait un coup.

     

    Areva a ainsi déclaré vouloir maintenir son usine au havre.. mais avec une seule ligne de fabrication au lieu des deux prévues, et pour fournir le projet retenu sur st Brieuc. Quelles retombées pour la Haute Normandie ?

     


    Je relève, et une partie de la presse économique également, que cette attribution de marchés à EDF est suspecte. Il est curieux que ce soit l'opérateur le plus hostile aux renouvelables qui récupère trois parcs sur quatre... Une interaction Sarko-Besson-Proglio a été soulignée.

     

    De plus, les attributaires de l'appel d'offres ont curieusement droit à une période de rétractation de 18 mois. Construire 3 parcs, c'est investir au bas mot entre 8 et 10 milliards d'Euros. Difficile de croire qu'EDF, plombée par des acquisitions internationales et investie dans ses projets nucléaires aura la capacité de lever ces fonds.

     

    Si, à l'arrivée, un seul ou deux parcs se font sur les trois prévus, la conséquence serait d'entraver la concurrence (GDF-SUEZ, Areva) dans le renouvelable et de retarder son programme, pour l’intérêt, évident du secteur nucléaire.
    Peut-on prêter un tel calcul à Proglio, Besson et Sarkozy ?

    Voilà pourquoi, Fécampois nous avons raison de nous réjouir pour notre territoire. Cela ne nous dispense pas de regarder  au delà de l'échelle locale.

    Non? 

     


     

     


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  • eoliennes au Cap Fagnet à Fécamp

    En rien, nous n'adaptons notre consommation en fonction des ressources. Les rayons des super marchés nous offrent l'alimentation dont nous avons envie.  L'eau coule du robinet qu'il nous suffit de tourner. Pour autant que nous puissions le payer, notre chauffage compense facilement nos coups de froid. Nos ampoules s'allument à la moindre pénombre...

    Nos ressources s'adaptent à nos besoins, et nos besoins ne s'adaptent plus à nos ressources, limitées. Sans une prise de conscience radicale et rapide de cela, nous allons demander toujours plus à nos ressources énergétiques qui bien intentionnées nous contenterons jusqu'au jour où...

    Le constat est accepté de tous, nos ressources énergétiques actuelles sont toutes en cul de bidon. 30 ans, 50 ans, 100 ans, ce n'est qu'une question de secondes à l'echelle de notre civilisation. Et on continue de faire comme si cela "allait le faire".

    Il nous faut donc adapter notre production énergétique à nos besoin, et, du coup, réduire nos besoins. Faire la chasse à toutes nos dépenses énérgétiques inutiles, et elles sont nombreuses. Il nous faut, aussi, être astucieux et plus efficaces. Mieux agencer nos postes et nos lieux de travail, calibrer à la baisse la puissance de nos machines, de nos vehicules, limiter nos deplacements, isoler nos maisons, nos usines, passer nos appareils de loisirs du superflux, au confortable, au necessaire ...

    Une fois que nous aurons redéfinis des besoins, plus raisonnables, nous pourons alors recalibrer une production en conséquence.

    Il sera, alors, plus facile de changer de sources et de vecteurs d'énergie. C'est aujourd'hui qu'il faut le faire, ou pas. Les centrales nucléaires arrivent, pratiquement toutes en fin de vie. Nous serions donc contraints d'investir pour une cinquantaine d'année, dans la construction de nouvelles centrales, et d'investir dans une forte réhabilitations de certaines centrales existante pour prolonger leur durée de vie. Si cette investissement ce decide aujourd'hui, Nous reporterions alors notre fondamental problème energétique de 50 ans, avec l'apparente sérénité de notre production nucléaire.

    La methode dite de "La patate chaude"!

     


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